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"SCIENTIA,
(RIVISTA DI SCIENZA)
Urgans internazionale di sintesi scientifica-Reque internationale de synthèse scientifique international Review at Scientific Synthesis Internationale Zeitschrift für wissenschaftliche Synthes
Paraissant tous les deux mois
(6 numéros par an de 240 à 250 pages chacun)
DIRECTION:
6. BRIXIA. DIONISIF. ERIQUTS A GANDINA E. BIGNANO
"SCIENTIA,, a été fondée en vue de contrebalancer les fuchenx effets de la spécialisation scientifique a ontrance. Elle ne traite que des sujets d'ordre tout à fait général er vise surtout: ex rapports qui unissent les différentes sciences entre elles: elle tond par là à In sinthetisation et unification de la science. Par ses Articles se rapportant aux branches les plus diverses de la recherche théorique, depuis les mathématiques jusqu'à la socio logie, par ses Notes Critiques sur les questions fondamentales le plus à l'ordre du jour, par ses Comptes Rendus de tous les ouvra ges scientifiques l'intérêt général, par us Revues Générales des derniers progrès dans chaque branche de la science, par ses Ana lyse des articles les plus importants paris sur les antre princi paux périodiques de tout le monde, par an Chronique des Congrès et de tons les autres événements de haute importance scientifique, elle cherelie en ontre à donner l'idée la plus complète de l'en
semble du mouvement scientifique contemporain. "SCIENTIA,, fait appel, pour le développement de som programme, à la coopération des autorités scientifiques les plus éminentes de tous les pays. L'accueil favorable qu'elle a rencontre auprès de celles-ci. In collaboration tout-à-fait internationale et de premier ordre qu'elle a réussi à s'assurer, et la diffusion si large qu'elle a gagnée en pen de temps dans tout le monde ont démontre combien son programme correspondait à un vrai besoin du monde savant actuel.
SCIENTIA,, public ses articles dans la langue de leurs auteurs. Mais un texte principal est joint un supplement avec la traduction française de tous les articles originaux al temands, anglais et italiens. Toutes les autres enbriques sont en français ou, elles nussi: traduites en français.
(Pour les renseignements aux auteurs
et les abonnements voir la page 3 de la couverture)
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Anno-Année Year VII.
1-IX-1913
Vol. Band
"SCIENTIA, (RIVISTA DI SCIENZA)
Organo internazionale di sintesi scientiben Revue internationale de synthese scientifque Internationale Zeitschrift für wissenschaftliche Synthese - International Review of Scientille Synthesis
INDEX
A. Miell - Le teorie delle sostanze wni presocratici greci. I Parte: Dalle prime speculacioni fino ad Empedocle - (Les théories des substoners chez les juro cratiques grecs. I Partie: Des premières spéculations à Empedocle). Th. Moreux Où nous entraine notre soleil?
A. J. Herbertson - The higher units. 1 geographical exxay- (Les unités nupi
rieures. Essai geographiques. E. Rigunno L'evoluzione del ragionamento. IT Parte: Dall'intuizione alla de duzione (L'évolution du raisonnement. II Parties De Pintuition à la
déduction).
S. Freud Das Interesse an der Psychoanalyse. I. Teit: Dus papokalopische In
toresse - (L'intérêt de la psycho-analyse. I Partie: Sou interet pour la pag
chologie). H. Jacobi
Nota critim-Sote eritigns-Kritische Stis-Critical Nat S. Jankelevitch - Les chovane pensants d'Elberfeld.
Receation - Complet roodus-holerate Book Reviews
S. Gärritu, Vergleichemin Mund- unt Erdkunde ( F. W. Henkel, A. DE LAUPARINT Voleques et tremblemente de forre- DI MOSTRE DE Battins, La esmologie underne
(M. Gortani) FH. DANNEMANN. Die Naturwissenschaften in der Entwicklung und in ihrem Zusammenhang (A. Reyi. A. Phen. Die Ernährung der Wasserfiere und der Stoffhaushalt der (en aur-J. Loen. E ficondation chimique - F. CzHER, Chemical phenomena in Tie-1. A. Tausos, Introduction to ackee-11. E. CAMPUS, The doctrim of evolution (E. S. Russell)) H. Prix. Ze problemer physiologie di mil-A. CREazzo, Studio a to urte apparente e la té ren (0. Pollmanti). A. DE CANDOLLE, Zur Geschichte der Wissenschaften and der gelehrten seit ze Jahrhamlerten (W. Mecklenburg). L. GH. Seut, Influences of waphicencieme ment, on the basis of Hatzel's syutem of anthropogeigraphy-Haupos. The mean doring of peoples (lt. Mannice. 1. A. DESERY and F. Want, textbook of sociology A. W. SMALL The meaning of social science (L. Limentani) G. PALLARI. Itanovo contrattualiano nella filosofia sociale e giuridico (P. Savorgnan
Russeges-Revara ofafrales Ally Uebersichten-Gen. views. Filinologie prili-lurique: Sigmund Feist-La question du pays d'origine des Indo-Euroins Hivista delle Risiste - Revue des Heras-Zeitschr. Taschtu - levien of leviews Cronara Chronique Chronik - Chronicle: Congrès et réunions - Nouvelles diverses)
BOLOGNA NICOLA ZANICHELLI
PARIS
VÉLIX ALCAN
LONDON
WILLIAMS AND NOUGATE
LEIPZIG
WILHELM EXOREMANS
Direzione e Redazione: Milano, Vin Aurelio Saffi, 11.
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Articles déjà publiés par "SCIENTIA,,
fer à paraître dans to prochain numéro XXXII-6)
Abegg, R (Breslan): Chomischio Affinitat Valenz and lastutürliche Systour der Elemente (traffinite chimique, la valeurs et le systeme natural des Aliments)
André, Ch (Lyon): L'hypothess nobulaire de Laplars or la théorie de la capture de M. T.J.J. Sed.
Arrhenius, S. (Stockholm); Die Unendlickheit der Welt (L'univers intiaik
Ueber den Ursprung des Gestirnkultus (3ur l'origine du culte desastres) Asher, L. (Berwy: Die Beziehungen zwischen Struktur und Funktion in tierischen Organismus
(Les relations de la structure et la fonction dans Forganisme animal)
Bayliss, W. M (London); The functions of ways in vital processes (Las functions des yes dans les processus vitaux) Becher, S. (Giessen): Lenor Handlungsreaktionen und ihre Bedeutung für das Verständnis der
organischen Zweckmiltigkeit (Sur les réactions actes et leur signification pour l'intelligence de la finalità organique) Bethe, A. (Strassburg). Nauore Vorstellungen über die Natur der bio-elektrischen Strime (
idée modernes sur la nature des courants bio électriques). Bohlin, K. (Storholm): Was ist ille Milchstrasse? (Qu'est-ce que la vale lartée?
Die veranderlichen Sterne (Les otoiles variables
Bohn, G. (Paris): Le psychisme chez les animaux inferieurs. Bonar, J. (Oftara-Canada): Home traile and insign trade (Commerce intérieur et commerce in tarnational) Bonnesen, T. (Kopenhagen): La réforme de l'enseignement des mathematiqnos alémentaires.
Borel, E. (Paris): Le continu mathématique et le contieu physique.
Bortkiewicz, L (Berlin) Die statistischen Generalisationen (Los généralisations statistiquent
Bottazzi, F. (Napole): la chimica tistran la taiplegia (Chimin physign of physiologie)
Boruttau, H. (Berlin): Die louere Sekretion La sertion interne Bounsse, H (Toulouse): Développement historique des théorios de la physique
Boutroux, P (Podiers): L'ovelation des mathematiques paros
Brillouin, M. (Paris): Propus scoptiques au sujet du principe de relativité,
Brunhes, B. [Clermont Ferrand in diversité de fortune des deux principes de la sharmony namique.
Bruni, G. (Padora): Le soluzioni solide (Les solutions solides) La chimica tisica nei noi rapporti con la scienze biologiche La chimin physique dans ses
rapports avec les sciences biologiques). L'opera di J. H. van't Hoff (L'ouvre du JH van't Hof).
Bryan, G. H. (Bangor): Diffusion and dissipation of naorgy (Diffusion et dissipation de l'ancies
Caetani, L. (Rom Le funzione dell'alim nella evoluzione della civilts (La fonction de lam
dans l'évolution de la civilisation)
Cardinali, G. (Bologna): Le ripercussioni dell'imperialismo sulla vita interne di Roma (L répercussion de l'impérialisme sur la vie Intérieure de Rome).
Roma la civiltà ellenistica (Rome et la civilisation hellénique).
Carver, T. N. (Cambridge USA) The english classical school of political economy (L'écl classique anglaise d'économic politique)
Diminishing returns and value (Dimination du remlementat de la valeur)
Castelnuovo, G. (Roma): Il valore didattico della matematione della fisica (La valeur didactique des mathématiques et de la physique)
Il principle i relatività fenomeni ottiel (Le principe de relativité et les phénomiliis
optiques). Caullery, M. (Paris): La méthode et les critères de la morphologie. Celorin, G. (Milano): L'opera di Giovanni Schiaparelli (L'ouve de Giovanni Schiacustin)
Chwolson, St. Petersbourg): Ilirfen wir die physikaliselien Gesetze auf das Universum an wonden? (Pout-on appliquer les lois de la physique à l'Univers?). Giamician, Bologna): Problemi o metodi della chimica organica (Problèmes et méthodes de la chimie organique).
La fotochimica dell'avvenire (La photochimie de l'avenir
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ERSTER TEIL.
Das psychologische Interesse.
Die Psychoanalyse ist ein ärztliches Verfahren, welches die Heilung gewisser Formen von Nervosität (Neurosen) mit telst einer psychologischen Technik anstrebt. In einer kleinen, 1910 veröffentlichen Schrift habe ich die Entwicklung der Psychoanalyse aus dem kathartischen Verfahren von J. Brener und ihre Beziehung zu den Lehren von Charcot und P. Janet dargestellt.
Als Beispiele der Krankheitsformen, welche der psycho analytischen Therapie zugänglich sind, kann man die hyste rischen Krämpfe und Hemmungserscheinungen sowie die man nigfaltigen Symptome der Zwangsnenrose (Zwangsvorstel Inngen, Zwangshandlungen) nennen. Es sind durchwegs Zu stände, welche gelegentlich eine spontane Heilung zeigen und in launenhafter, bisher nicht verstandener Weise dem persön lichen Einfluss des Arztes nnterliegen. Bei den schwereren Formen der eigentlichen Geistesstörungen leistet die Psycho- analyse therapeutisch nichts. Aber sowohl bei Psychosen wie bei den Neurosen gestattet sie zum ersten Male in der Ge schichte der Medizin einen Einblick in die Herkunft und in den Mechanismus dieser Erkrankungen zu gewinnen. Diese ärztliche Bedeutung der Psychoanalyse würde ins
Uber Poychoanalyse, Aufl., Wien, 1912. In englischer Sprache verf fentlicht in American Journal of Psychology, April 1910, übersetzt ins Russi sche, Polnische. Ungarische und Holländische.
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DAS INTERESSE AN DER PSYCHOANALYSE
241
des den Versuch nicht rechtfertigen, sie einem Kreise von Gelehrten vorzustellen, die sich für die Synthese der Wissen schaften interessieren. Zumal da dies Unternehmen verfrüht erscheinen müsste, solange noch ein grosser Teil der Psychia ter and Neurologen sich ablehnend gegen das neue Heilver fahren benimmt und die Voraussetzungen wie die Ergebnisse desselben verwirft. Wenn ich diesen Versuch dennoch als legi tim erachte, so berufe ich mich darauf, dass die Psychoanalyse auch bei anderen als Psychiatern Interesse beansprucht, indem sie verschiedene andere Wissensgebiete streift und unerwartete Beziehungen zwischen diesen und der Pathologie des Seelen lebens herstellt.
Ich werde also jetzt das ärztliche Interesse an der Psycho analyse bei Seite lassen, und was ich von dieser jungen Wis senschaft behauptet habe, an einer Reihe von Beispielen er liutern.
Es gibt eine grosse Anzahl von mimischen und sprach lichen Ausserungen sowie von Gedankenbildungen bei nor malen wie bei kranken Menschen, welche bisher nicht Ge genstand der Psychologie gewesen sind, weil man in ihnen nichts anderes erblickte als Erfolge von organischer Störung oder abnormem Ausfall an Funktion des seelischen Apparates. Ich meine die Fehlleistungen (Versprechen, Verschreiben, Ver gessen usw.), die Zufallshandlungen und die Träume bei nor malen, die Krampfanfälle, Delirien, Visionen, Zwangsideen nud Zwangshandlungen bei neurotischen Menschen. Man wies diese Phlinomene soweit sie nicht wie die Fehlleistungen - berhaupt unbeachtet blieben der Pathologie zu und be strebte sich physiologische Erklärungen für sie zu geben, die un in keinem Falle befriedigend geworden sind. Dagegen gelang es der Psychoanalyse zu erweisen, dass all diese Dinge durch Annalumnen rein psychologischer Natur verständlich ge macht und in den Zusammenhang des uns bekannten psychi schen Geschehens eingereiht werden können. So hat die Psy choanalyse einerseits die physiologische Denkweise einge schränkt und anderseits ein grosses Stück der Pathologie für die Psychologie erobert. Die stärkere Beweiskraft kommt hier den normalen Phänomenen zu. Man kann der Psychoanalyse nicht vorwerfen, dass sie am pathologischen Material gewon
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242 “ sornnrm „
neue Einsichten auf (las normale überträgt. Sie führt die Be-
weise hier und dort unabhängig von einander und zeigt so,
dass normale, wie sogenannte pathologische Vorgänge densel-
ben Regeln folgen.Von den normalen Phänomenen, die hier in Betracht kom-
men, (1. li. von den am normalen Menschen zu beobachtenden,
werde ich zweierlei ausführlicher behandeln, die Fehlleistun-
gen und die Träume.Die Fehlleistungen, also das Vergessen von sonst ver-
trauten Worten und Namen, von Vorsätzen, das Versprechen,
‚Verlesen, Verschreiben, das Verlegen von Dingen, so dass sie
unaufiindbar werden, das Verlieren‚ gewisse Irrtümer gegen
besseres Wissen, manche gewohnheitsrniissige Gesten und Be
wegungen — all dies, Was ich als Fehlleistnngen des gesun-'den und normalen Menschen zusammenfasse, —- ist von der
Psychologie im Ganzen Wenig gewürdigt werden. wurde als
« Zerstrentheit » klassifiziert, und von Ermiidung, Ablenkung
der Aufinerksemkeit, von der Nebenwirkung gewisser leichter
Krankheitsznstiinde abgeleitet. Die analytische Untersuchung
zeigt aber mit einer allen Ansprüchen genügenden Sicherheit,
dass diese letztgenannten Momente bloss den Wert von Begün-
stigungen haben, die auch wegfallen können. Die Fehlleistun»
gen sind vollgiiltige psychische Phänomene und haben jedesmal
Sinn und Tendenz. Sie dienen bestimmten Absichten, die sich
infolge der jeweiligen psychologischen Situation nicht anders
zum Ausdruck bringen können. Diese Situationen sind in der
Regel die eines psychischen Konflikts, durch welchen die un-
terliegende Tenden vom direkten Ausdruck abgedrängt und
auf indirekte Wege gewicsen wird. Das Individuum, welches
die Fehlleistung begeht, kann sie bemerken oder übersehen;
die ihr zu Grunde liegende unterdriickte Tendenz kann ihm
wohl bekannt sein, aber es weiss für gewöhnlich nicht ohne
Analyse, dass die betreffende Fehlhandlnng das Werk dieser
Tendenz ist. Die Analysen der Fehlhanrllungen s' d oft sehr
leicht und rasch anzustellen. Wenn man auf den Missgrifl’
aufmerksam geworden ist, bringt der nächste Einfall dessen
Erklärung.Fehlleistungen sind das bequemste Material für jeden,
der sich von der Glaubwürdigkeit der analytischen Auffas-
sungen überzeugen lassen will. In einem kleinen, zuerst 1904
veröfi'entlichten Buche habe ich eine grosse Anzahl solcher Bei-S.
DAS INTERESSE AN DER PSYCHOANALYSE 243
spiele nebst ihrer Deutung mitgeteilt und habe diese Samm-
lung seither durch zahlreiche Beiträge anderer Beobachter
bereichern können.1Als das häufigste Motiv zur Unterdrückung einer Absicht,
Welche dann genötigt ist, sich mit der Darstellung durch eine
Fehlleistung zu begniigen‚ stellt sich die Vermeidung von
Unlust heraus. So vergisst man hartnäckig Eigennamen, wenn
man gegen die Träger derselben einen geheimen Groll hegt,
man vergisst Vorsätze auszuführen, wenn man sie im Grunde
genommen nur ungern ausgeführt hätte, z. B. nur um einer
konventionellen Nöt'igung zu folgen. Man verliert Gegen
stünde, wenn man sich mit demjenigen verfeindet hat, an Wcl»
chen dieser Gegenstand mahnt, von dem er z.B. geschenkt
werden ist. Man irrt sich beim Einsteigen in einen Eisenbahn
zug, wenn man diese Fahrt ungerne macht und lieber zur
derswo geblieben Wäre. Am deutlichsten zeigt sich das Motiv
der Vermeidung von Unlust_ beim Vergessen von Eindrücken
und Erlebnissen, Wie es bereits von mehreren Autoren vor
der Zeit der Psychoanalyse bemerkt werden ist. Das Gedächt»
nis ist parteiiseh und gerne bereit, alle jene Eindrücke von der
Reproduktion auszuschliessen, an denen ein peinlicher Afi'ekt
haftet, Wenngleich diese Tendenz nicht in allen Fällen zur
Verwirklichung ‚felangen kann.Andere Male ist die Analyse einer Fehlleistung minder
einfach und fiihrt zu Weniger durchsichtigen Auflösungen in
folge der Einmengung eines Vorganges, den wir als Verschie-
bung bezeichnen. Man vergisst z.B. auch den Namen einer
Person, gegen die man nichts einzuwenden hat; aber die Ana-
lyse weist nach, dass dieser Name assoziativ die Erinnerung
an eine andere Person mit gleichem oder ähnlich klingenden)
Namen geweckt hat, welche auf unsere Abneigimg' berechtig
ten Anspruch macht. Infolge dieses Zusammenhanges ist der
Name der harmlosen Person vergessen werden; die Absicht
zu vergessen hat sich gleichsam längs einer gewissen Assozia»
tionsba.hn verschoben. .Auch ist die Absicht, Unlust zu vermeiden, nicht die ein-
zige, die sich durch Eehlleistungen verwirklicht. Die Analyse
deckt in vielen Fällen andere Tendenzen auf, die in der be-‘ Zur Psychopmtholagie des Allfngsh’l/ens', &. Aufl., Berlin 1912. Dazu Ar—
heiten von Maedol', A. A. Brill, E. Jones, 0. Bank u. u.a
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treffenden Situation unterdrückt werden sind und sich gleich-
sam aus dern Hintergrunde als Störungen äussern miissen. So
dient das Versprechen häufig (lem Verrat von Meinungen, die
vor dem Partner geheim gehalten werden sollen. Die grossen
Dichter haben Versprechungen in diesem Sinne verstanden
und in ihren Werken gebraucht. Das Verlieren we1tvoller Ge-
genstände erweist sich oft als Opferlla.ndlung‚ um ein erwar-
tetes Unheil abzuwenden, und manch anderer Aherglnube setzt
sich bei (len Gebildeten noch als Fehlleistung durch. Das Ver-
legen von Gegenständen ist gewöhnlich nichts anderes als eine
Beseitigung derselben; Saßhhescllädigungen werden anschei-
nend unabsichtlich vorgenommen, um zum Ersatz durch Bes-
seres zu nötigen usw.Die psychoanalytische Aufklärung (ler Fehlleistungen'
bringt immerhin einige leise Abänderungen des Weltbildes
mit sich, so geringfügig die betrachteten Erscheinungen auch
sein mögen. Wir finden auch den normalen Menschen weit“
häufiger von gegensätzlichen Tendenzen bewegt, als wir
erwarten konnten. Die Anzahl der Ereignisse, die wir
« zufällige >> geheissen haben, erfährt eine erhebliche Ein.-
schränkung. Es ist fast ein Trost, dass das Verlieren von
Gegenständen zumeist aus den Zufälligkeiten des Lebens aus
scheidet ; unsere Ung'eschicklichkeit wird oft genug zum
Deckmentel unserer geheimen Absichten. Bedeutungsvoller
ist aber, dass viele schwere Unglücksfiille, die wir sonst ganz
dem Zufall zugeschrieben hatten, in der Analyse den Anteil
des eigenen, wenn auch nicht klar eingestandenen Willens
enthüllen. Die in der Praxis oft so schwierige Unterscheidung
der zufälligen Verungliickung vom absichtlich gesuchten Tod
wird durch die analytische Betrachtung noch mehr zweifelhait. .Verdsnkt die Aufklärung der Feldleistungen ihren theo-
retischeu Wert der Leichtigkeit der Lösung und der Häufig-
keit des Vorkommens dieser Phänomene beim normalenrM<än-
sehen, so steht dieser Erfolg der Psychoanalyse doch an Be—'
deutung Weit hinter einem nächsten zurück, welcher an einem
anderen Phänomen des Seelenlebens Gesunder gewonnen
wurde. Ich meine ‘die Deutung der Träume, mit welcher erst
das Schicksal der Psychoanalyse, sich in einen Gegensatz zur
oh‘iziellen Wissenschaft zu stellen, seinen Anfang nimmt. Die
medizinische Forschung erklärt den Traum für ein rein somit-
tisches Phänomen ohne Sinn und Bedeutung, sieht in ihmS.
DAS INTERESSE AN DER PSYCHOANALYSE 245
die Äusserung des in den Schlafzustand versunkenen See-
lenorgans auf körperliche Reize, die ein purtielles Erwachen
erzwingen. Die Psychoanalyse erhebt den Traum zu einem
psychischen Akt, der Sinn, Absicht und eine Stelle im See
lenleben des Individuum hat, und setzt sich dabei über die
Fremdmtigkeit, die Inkohä.renz und die ‚\bmmlität des Trau-
mes hinaus. 'Die körperlichen Reize spielen dabei nur die Rolle
von Materialien, welche bei der Trnumbildung verarbeitet wer-
den. Zwischen diean beiden Aulfnsslmg‘en des Trluimes gibt
es keine Vermittlung. Gegen die physiologische Auffassung
spricht ihre Unfruchtbarkeit, für die psychoanalytische kann
man geltend machen, dass sie mehrere Tausende von Träumen
sinnvoll übersetzt und fiir die Kenntnis des intimen mensch—
lichen Seelenlebens verwertet hat.Ich habe das bedeutsame Thema der « Traumdeutung »
in einem 1900 veröffentlichten Werke behandelt und die Be-
tiietligung gehabt, dass fast alle Mitarbeiter an der Psycho-
analyse die darin vertretenen Lehren durch ihre Beiträge be-
stätigt und gefördert- haben.‘ In allgemeiner Übereinstimmung
wird behauptet, dass die Traumdeutung der Grundstein der
psycboanalytischen Arbeit ist, und dass ihre Ergebnisse den
wichtigsten Beitrag der Psychoanalyse zur Psychologie dar-
stellen.Ich kann hier weder die Technik, durch welche man die
Deutung des Traumes gewinnt, (la1‘lcg‘ell, noch die Resultate
begründen, zu welchen die psychoanalytische Bearbeitung des
' Trnumes geführt hat. Ich muss mich auf die Aufstellung eini-
ger neuer Begriffe, die Mitteilung der Ergebnisse und die_ Hervorhebung ihrer Bedeutung für die Normalpsycholog'ß be»
schränken.Die Psychoanalyse lehrt also: Jeder Traum ist sinnvoll,
seine Fremdartigkeit rührt von Eutetellung‘en her, die an dem
Ausdruck seines Sinnes vorgenommen werden sind, seine Ah-
surdität ist absichtlich und drückt Hohn, Spott und Wider-"spruch aus, seine Inkohärcnz ist fiir die Deutung gleichgültig.
Der Traum, wie wir ihn nach dem Erwachen erinnern, soll
mant'j'ester Traumthlt genannt werden. Durch die Deutung‘s-
arbeit an diesem wird man zu den la.tenten' Trmtmgcdankm. Me Traumdeutung, :}, Aufl. lull. Dazu die kleinere Schrift Über den
lelm,_@. Aufl. 1911. Andere Publikationen von o. Rank, w. Stekel, E. Jones,
H. Silherer A. A. Brill. A. Mueller, K. Abraham, s. Ferenczi u. n.S.
246 “ sernnrrn „
geführt, welche sich hinter dem manifesten Inhalt verbergen
und durch ihn vertreten lassen. Diese latenten Traurugedon-
ken sind nicht mehr fremdartig, inkohiirent oder absurd, es
sind vollwertige Bestandteile unseres \Vachdenkens. Don Pro.
zess, welcher die lutenten Treumgetlanken in den manifesten
Trauminhalt verwandelt hat, heissen wir die Traumarbeü; er
bringt die Entstehung zu stande, in deren Folge wir die
Traumgedanken im Trauminhalt nicht mehr erkennen.Die Traumarheit ist ein psychologischer Prozess, dessen
gleiehen in der Psychologie bisher nicht bekannt war. Sie
nimmt unser Interesse nach zwei Hauptrichtungen in An-
spruch. Erstens, indem sie neuartige Vorgänge wie die Ver-
d/ichtmty (von Vorstellungen) oder die chsßhtehung (des psy-
chischen Akzente von einer Vorstellung zur anderen) aufweist,
die wir im Wachdenken überhaupt nicht oder nur als Grund-
lage sogenannter Denkfehler aufgefunden haben. Zweitens,
indem sie uns gestattet, ein Kräftespiel im Seelenleben zu
ernten, dessen Wirksamkeit unserer bewussten Wahrneh- _
mung verborgen war. Wir erfahren,’dass es eine Zensur, eine
prüfende Instanz in uns gibt, welche dariiber entscheidet, ob
eine eufta.uchende Vorstellung zum Bewusstsein gelangen
darf, und unerbittlieh ausschliesst, soweit ihre Macht reicht,
was Uniust erzeugen oder wiedererwecken könnte. Wir erin-
nern uns hier, dass wir sowohl von dieser Tendenz, Unlust
bei der Erinnerung zu vermeiden, als auch von den Kon-
flikten zwischen den Tendenzen des Seelenlebeus Andeutungen
bei der Analyse der Fehlleistungen gewonnen haben.Das Studium der Traumarheit dri'mgt uns als unabweisba.r
eine Auffassung des Seelenlebens auf, welche die bestrittensteu
Fragen der Psychologie zu entscheiden scheint. Die Traum-
urbeit zwingt uns, eine unbewusstt: psychische Tätigkeit anzu-
nehmen, welche umfassender und bedeutsumer ist als die uns
bekannte mit Bewusstsein verbundene (Darüber einige Worte
mehr bei der Erörterung des philosophischen Interesses an
der Psychoanalyse). Sie gestattet uns, eine Gliederung des psy-‘
chischen Apparates in verschiedene Instanzen oder Systeme
vorzunehmen, und zeigt—, dass in dem System der unbewussten
Seelentätigkeit Prozesse von ganz anderer Art. ablaufen als
im Bewusstsein wahrgenommen werden.Die Funktion der Traumarbeit ‚ist immer nur die, den
Schlaf zu erhalten. « Der Traum ist der Hüter des Schlafes ».S.
DAS INTERESSE AN DER PsYUHOANALYsE 247
Die Traumgedanken selbst mögen im Dienste der verschieden-
sten seelischen Funktionen stehen. Die Traumurbeit erfüllt
ihre Aufgabe, indem sie einen aus den Trnumgedauken sich
erhebenden Wunsch auf halluzinatorischem Wege als erfüllt
darstellt.Man darf es wohl aussprechen, dass das psychoanalyti-
sehe Studium der Träume den ersten Einhliekin eine bisher
nicht geahnte Tiejbnpsychahvgic eröffnet hat.‘ Es werden grund-
stiirzende Abänderung-en (ler Normalpsychologie erforderlich
sein, um sie in Einklang mit diesen neuen Einsichten zu
bringen.Es ist ganz unmöglich, im Rahmen dieser Darstellung das
psychologische Interesse un der Traunnleutung zu ersehöpfen.
Vergessen wir nicht, dass wir nur hervorzuheben beabsich«
tigten, der ’.l‘ramn sei sinnvoll und sei ein Objekt der Psychologie,
und setzen Wir mit den Neuerwerbungen für die Psychologie
auf pnthologiseheln Gebiete fort.
7 Die aus ’Ernum und Fehlleistungeu erschlossenen psycho-
logischen Neuheiten müssen noch zur Aufklärung anderer
Phänomene brauchbar werden, wenn wir an ihren Wert, ja
auch nur an ihre Existenz glauben sollen. Und nun hat die
Psychoanalyse Wirklich gezeigt, dass die Annahmen der uni
bewussten Seelentittigkeit, der Zensur und der Verdrängung,
der Entstellu.ng und Ersatzbi.ldung‚ welehe wir durch «lie Ana-
lyse jener normalen Phänomene gewonnen haben, uns auch
das erste Verständnis einer Reihe von pathologischen Phänome-
nen ermöglichen, uns sozusagen die Schlüssel zu allen Rätseln
der Neurosenpsyehologie in die Hände spielen. Der Traum
wird so zum Normalvorbild aller psychopatholog-ischen Bil-
dungen. Wer den Traum versteht, kann auch den psychischen
Mechanismus der Neurosen und Psychosen rlm‘chsclnmen.Die Psychoanalyse ist durch ihre vom Traum ausgehende
Untersuchungen in den Stand gesetzt werden, eine Neurosen-
psychologie aufzubauen, zu welcher in stetig fortgesetzter Ar-
beit Stück um Stück hinzugefügt wird. Doch erfordert das
psychologische Interesse, welchem wir hier folgen, nicht mehr,
als dass wir zwei Bestandteile dieses grossen Zusammenhan-
ges ausführlicher behandeln: Den Nachweis, dass viele Phä-* Eine Beziehung dieser psychischen Topil-i aufanalomisehe'Lnge.-ung oder
histologische Schichtung wird von der Psychoanalyse derzeit zurückgewiesen.S.
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SCIENTIA
nomene der Pathologie, die man glaubte physiologisch erklji ren zu müssen, psychische Akte sind, und dass die Prozesse, welche die abnormen Ergebnisse liefern, auf psychische Trieb kräfte zurückgeführt werden können.
Ich will die erste Behauptung durch einige Beispiele er Hintern: Die hysterischen Anfälle sind Hingst als Zeichen gesteigerter emotiver Erregung erkannt und den Affektans brüchen gleichgestellt worden. Charcot versuchte die Mannig faltigkeit ihrer Erscheinungsformen in deskriptive Formeln 2 bannen; P. Janet erkannte die unbewusste Vorstellung, die hinter diesen Anfällen wirkt; die Psychoanalyse hat dar getan, dass sie mimische Darstellungen von erlebten und ge dichteten Szenen sind, welche die Phantasie der Kranken be schäftigen, ohne ihnen bewusst zu werden. Durch Verdich tungen und Entstellungen der dargestellten Aktionen werden diese Pantomimen für den Zuschauer undurchsichtig gemacht Unter dieselben Gesichtspunkte fallen aber auch alle anderen sog. Dauersymptome der hysterischen Kranken. Es sind durch wegs mimische oder halluzinatorische Darstellungen von Plan tasien, welche deren Gefühisleben unbewusst beherrschen und eine Erfüllung ihrer geheimen verdrängten Wünsche bedenten. Der qualvolle Charakter dieser Symptome rithrt von dem in neren Konflikt her, in welchen das Seelenleben dieser Kranken durch die Notwendigkeit der Bekämpfung solcher unbewusster Wunschregungen versetzt wird.
Bei einer anderen neurotischen Affektion, der Zwangs neurose, verfallen die Kranken einem peinlich gehandhalten, anscheinend sinnlosen Zeremoniell, das sich in der Wiederho lung und Rhythmierung der gleichgültigsten Handlungen wie Waschen, Ankleiden, oder in der Ausfilrung unsinniger Vor schriften, in der Einhaltung Fit elhafter Verbote äussert. Es war geradezu ein Triumph der psychoanalytischen Arbeit, als es ihr gelang nachzuweisen, wie sinnvoll all diese Zwangs handlungen sind, selbst die unscheinbarsten und geringfügig sten unter ihnen, wie sie die Konflikte des Lebens, den Kampf zwischen Versuchungen und moralischen Hemmungen, den verfehmten Wunsch selbst und die Strafen und Bussen dafür am indifferenten Material widerspiegeln. Bei einer andern. Form derselben Krankheit leiden die Betroffenen an peinigen den Vorstellungen - Zwangsideen, deren Inhalt sich ihnen gebieterisch aufdrängt, von Affekten begleitet, die in Art und
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„.—‚-_ „. ‚f «.,—‚„ _.
DAS INTERESSE AN DER PSYCHOAXALYSE 249
Intensität ihn‘ch den Wortlaut der Zwangsidecn selbst oft nur
sehr Wenig erklärt werden. Die analytische Untersuclumg hat.
hier gezeigt, dass die Afl'ekte voll berechtigt sind, indem sie
Vorwürfen entsprechen, denen wenigstens eine psychische Rea—
lität zu Grunde liegt. Die an diese Afi'ekte gehängten Vor-
stellungen sind aber nicht mehr die ursprünglichen, sondern
durch Verschiebung (Ersctzung, Substitution) von etwas Ver-
drängteln in diese Verknüpfung- ‚geraten. Die Reduktion (das
Rückgäng‘igmaehen) dieser Verschiebungen hnhnt den Weg
zur Erkenntnis der ver-drängten Ideen und 't die Verknüp-
fung von Afi'ckt und Vorstellung als durchaus angemessen
erscheinen.Bei einer andern neurotischeu Af'l‘ektion, der eigentlich
‘unheilbaren Damontirl pwwcorc (Farnphrenie, Schizophrenie),
welche in ihren schlimmsten A „innen die Kranken völlig—
teilnarnlos erscheinen lässt, eri rigen oft als einzige Aktio-
nen gewisse gleichförmig- wiederholte Bewegungen und Ge»
sten, die als Stereotypien bezeichnet werden sind. Die analy—. tische Untersuchung solcher Reste (durch C. G. Jung) hat sie
als Überbleibsel von sinnvollen 1nimischen Akten erkennen
’ lassen, in denen sich einst die das Individuum beherrschenden
Wunsclu‘egung‘en Ausdruck versrhnfitcn. Die tollsten Reden
und sonderbarsten Stellungen und Halt-ungen dieser Kranken
haben ein Verständnis und die Einreihung in den Zusam-_ menhang des Seelenlehens gestattet, seitdem man mit psycho—
analytischen Voraussetzungen an sie llernngetrcten ist.
Ganz ähnliches gilt fiir die Delirien und Halluzinntio-
nen und fiir die Wahnsysteme verschiedener Geistesln'einker,-Überall, wo bisher nur die biz;irrste Laune zu weiten schien,
hat die psychoanalytisehe Arbeit Gesetz, Ordnung und Zu—
sammenhang aufgezeigt oder wenigstens ahnen lassen, inso-
feme diese Arbeit noch unvollendct ist. Die versehiedennrti
gen psychischen Erkrankungst'ormen erkennt man aber als
Ausgänge von Prozessen, welche im Grunde identisch sind,
und die sich mit; psychologischen Begriffen erfassen und be—
schreiben lassen. Überall sind der schon bei der Traumhil—
dung uufgedeckte psychische Konflikt im Spiele, die Verdrän-
gung gewisser Triebreg-ung-en, die von anderen Seelenkräften
ins Unbewusste zurückgewiesen werden, die Reaktionrbilduw
gen der verdrängenden Kräfte und die Ersatzbildungm der ver—
drängten, nber ihrer Energie nicht völlig); beraubten Triebe.S.
"SCIENTIA,
Überall Russern sich bei diesen Vorgängen die vom Traun her bekannten Prozesse der Verdichtung und Verschienong. Die Mannigfaltigkeit der in der psychiatrischen Klinik beobach teten Krankheitsformen hängt von zwei anderen Mannigfal tigkeiten ab: von der Vielheit der psychischen Mechanismen, welche der Verdrängungsarbeit zu Gebote stehen, und von der Vielheit der entwicklungsgeschichtlichen Dispositionen, welche den verdrängten Regungen den Durchbruch zu Ersatz bildungen ermöglichen.
Die gute Hälfte der psychiatrischen Aufgabe wird von der Psychoanalyse zur Erledigung an die Psychologie gewie sen. Doch wäre es ein arger Irrtum, wollte man annehmen, dass die Analyse eine rein psychologische Auffassung der See lenstörungen anstrebt oder befürwortet. Sie kann nicht ver kennen, dass die andere Hälfte der psychiatrischen Arbeit den Einfluss organischer Faktoren (mechanischer, toxischer, infektiöser) auf den seelischen Apparat zum Inhalt hat. In der Atiologie der Seelenstörungen nimmt sie nicht einmal für die mildesten derselben, für die Neurosen, einen rein psy chogenen Ursprung in Anspruch, sondern sneht deren Ver ursachung in der Beeinfinssung des Seelenlebens durch ein später zu erwähnendes, unzweifelhaft organisches Moment.
Die detaillierten Ergebnisse der Psychoanalyse, welche für die allgemeine Psychologie bedeutsam werden müssen. sind allzu zahlreich, als dass ich sie hier anführen könnte. Ich will nur noch zwei Punkte mit einer Erwähnung streifen: Die unzweideutige Art, wie die Psychoanalyse das Primat im Seelenleben für die Affektvorgänge in Anspruch nimmt, und den Nachweis eines ungeahnten Ausmasses von affektiver Störung und Verblendung des Intellekts bei den normalen nicht anders als bei kranken Menschen.
Wien, Universität
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